La finale du concours a eu lieu à l’Université catholique de Louvain, sur le site de Woluwe. Dans l’après-midi, les finalistes ont du faire leur présentation en petit groupe devant le jury. Les lauréats de chaque catégorie (santé, citoyenneté, économie, cohésion sociale et enseignement) ont répété leur présentation devant tout les membres de jury constitué de la députée bruxelloise et communautaire Françoise Bertieaux, de la professeure Nathalie Burnay (FUNDP, UCL), de la présidente du Parlement francophone bruxellois Julie de Groote, du professeur Marc Demeuse (UMons), du docteur Hugues Draelants (UCL), du professeur Vincent Dupriez (UCL), du député bruxellois Alain Maron, du professeur Dirk Jacobs (ULB), du professeur Olgierd Kuty (Ulg), du professeur Pierre-Joseph Laurent (UCL) , du professeur Frédéric Nils (FUSL) , du professeur Philippe Scieur (UCL Mons) ainsi que du professeur Michel Sylin (ULB).
Les gagnants du concours, Lucie Rosière et Coleen Ista, ont été récompensés par un prix de 500 euros pour leur recherche sur l’opinion négative de certains habitants de Bastogne a propos du centre de refugiés. Les lauréats se sont également vu offerts un stage social. La députée bruxelloise Françoise Bertieaux a souligné qu’un stage social à l’étranger « était une très bonne idée ». L’association a également attribué un prix de 300 euro à l’enseignant des lauréats pour la remercier pour son enthousiasme et pour sa motivation. Les autres finalistes ont été félicités et récompensés par divers prix, « pour avoir mis leur talent et leur cœur » comme l’a expliqué Françoise Bertieaux .
Julie de Groote a particulièrement remercié tous les finalistes qui travaillent sur leur projet depuis 6 mois, leur enseignant et les familles. Elle a félicité Francolympiades et déclaré que cette organisation devrait se répéter chaque année. De Groote a pointé sur l’importance du projet en déclarant que les jeunes sont l’avenir de la société.
« Ce projet unique est une grande première en Belgique Francophone », comme l’a fait remarquer le professeur Frédéric Nils, Nous avons l’habitude de participer aux olympiades de mathématiques depuis notre enfance. Cela est très nouveau et intéressant d’organiser ces olympiades dans le domaine des sciences sociales.
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